Certaines de nos émotions déclenchent en nous un sentiment de joie et de bien être. Nous sentons alors que notre vie va dans le bons sens et nous sommes portés par une énergie constructive. Nous nous sentons de bonne humeur et tout va bien. Nous sommes alors en mesure d’apprécier tout ce qui fait le bonheur de vivre au quotidien : la présence d’un être cher, la beauté d’un paysage.

Par ailleurs, Les difficultés de la vie ne nous font pas peur et nous nous sentons capable de faire face à tous les obstacles qui pourraient bien se présenter sur le chemin de nos réalisations.

L’émotion principale qui déclenche ce sentiment est l’amour qui nous porte vers tout ce qui est bon pour nous, tout ce qui nous fait envie et tout ce que nous désirons vivre et accomplir. Nous connaissons la joie mais aussi le plaisir de vivre, l’enthousiasme, la passion …

Certaines de nos émotions nous entraînent dans un sentiment de mal être qui nous donne un goût amère et le sentiment de ne plus avancer vers ce qui est bon ou favorable pour nous. Ce sentiment déclenche en nous une mauvaise humeur qui nous fait percevoir le monde et tout ce qui nous touche d’une façon hostile et désagréable. Cela joue sur notre façon d’être et nos comportements. Nous adoptons une attitude de crainte, d’agressivité, de méfiance qui va rejaillir sur notre environnement. Nous ne tardons pas à recevoir de notre entourage, les effets négatifs de notre façon d’être qui va encore amplifier notre mauvaise humeur. Nous entrons dans une spirale déprimante qui ne nous permet pas de trouver des solutions saines et efficaces pour relever les défis que nous rencontrons sur les chemins de nos objectifs. La peur et la colère sont les deux émotions qui ont déclenché sur nous ces malheureux effets.

La peur est parfois utile pour nous faire fuir un danger physique réel. Malheureusement, bien souvent la peur nous suggère de fuir un danger purement psychologique face à une situation qui nous rappelle une situation ancienne qui nous a fait souffrir. Dans ce cas, la peur s’oppose à la réalisation de nos objectifs. Elle nous empêche d’avancer et d’évoluer. Cette peur est d’autant plus malsaine que nous n’en n’avons bien souvent, même pas conscience. Elle agit donc d’une façon sournoise sur nos comportement en nous faisant fuir ce vers quoi nous étions en train d’aller joyeusement, porté par nos envies de réalisations personnelles. Afin de rationaliser notre peur et de la rendre acceptable à notre esprit conscient, elle va se présenter à nous avec des arguments qui vont nous sembler tout à fait raisonnables. Toutefois il subsiste en nous un goût amère de déception que nous n’arrivons pas à intégrer. C’est pourtant le signal que nous sommes en train de passer à côté de notre vie. Malheureusement, toutes nos sollicitations extérieures ne nous permettent pas toujours de percevoir les signaux envoyés par notre vie intérieure !

Ces peurs inconscientes et les agressions extérieures peuvent ainsi déclencher en nous une autre émotion qui va à l’encontre de ce que nous avons envie de vivre et de nos objectifs : il s’agit de la colère. En effet, qu’elle soit dirigée vers nous, vers les autres ou vers des objets, la colère a pour objectif de détruire et de se venger. Elle va donc généralement à l’encontre de nos objectifs de réalisation et d e plus elle va gâcher nos relations et nous obliger à dépenser beaucoup d’énergie pour nous faire pardonner nos excès. Il est vrai qu’en de rares situations d’abus ou de violence, la colère peut stimuler en nous une énergie utile pour nous défendre. Parfois, comme la peur, elle peut même nous stimuler à faire ce qu’il faut pour dépasser une situation mal vécue précédemment.

Donc d’un côté, nous sommes portés par l’émotion de l’amour qui nous fait avancer sur le chemin de la vie. De l’autre côté, nous sommes généralement freinés ou bloqués par nos peurs et nos colères qui nous font courir après des objectifs qui ne sont plus les nôtres ou tout du moins qui vont à l’encontre de ceux que nous suivions avec bonheur. Un dernier volet est encore à signaler : c’est celui de la tristesse et du chagrin et de tout ce qui en dépend : découragement, déception, désespoir … La tristesse passagère n’est pas gênante mais si elle s’installe, elle tend à étouffer toute motivation pour conduire à l’état de dépression. Sans motivation, il n’y a plus d’envie d’agir ni de quoi que ce soit. La vie n’est plus possible. C’est pourquoi, il est important de ne pas se complaire dans ce genre d’émotion préjudiciable. Le sentiment de tristesse est un signal. Il est temps de nous connecter rapidement sur ce qui nous fait plaisir en relation avec ce que l’on aime et tout ce qui donne du sens à notre vie. Il est temps de se changer les idées, de prendre soin de nous. S’il y a en nous des émotions mal vécues et refoulées qui refont surface régulièrement, il serait peut-être bon de les désactiver rapidement. La pratique de la désactivation des émotions négatives pratiquée en PNL est très efficace pour nous débarrasser de ces boulets et retrouver la légèreté de l’être indispensable pour vivre joyeusement et réaliser notre raison de vivre.

En résumé, pour avancer allègrement dans sa vie il est nécessaire de cultiver tout ce qui active nos émotions basées sur l’amour et la joie de vivre (amour de la vie, des autres, de soi-même …) et de freiner tout ce qui réactive nos peurs ou déclenche nos colères. La tristesse est à fuir car elle nous écarte de tout ce qui fait le bonheur de vivre. D’ailleurs, il suffit de balayer l’écran de fumée créé par nos peurs irréelles pour retrouver notre bonne humeur qui va nous permettre de mener la vie qui nous convient. Dans ce courant d’amour, la tristesse se trouve noyée pour notre plus grand plaisir et celui de tout notre entourage.

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